J’envie tes courbes quand
tu tournoies
Tes rondeurs ponctuées d’ébène
Quand d’un coup léger tu prends ton envol
Pour virevolter dans mes rêves.
De rouge tu es vêtue.
De mouches tu es parée
Non pas une, pas la discrète,
Mais savamment déposées
Dessus ton dos bombé couleur bonbon
On te dit bête à bon Dieu
Je te dis belle à damner
Ma coccinelle.
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